Le chef d'entreprise souhaite, en ce début d'année, partir à la rencontre des Américains. Pas seulement les résidents de la Californie, mais partout aux États-Unis. La première étape texane de ce périple américain a fait poser Mark Zuckerberg aux côtés de cow-boys, tandis qu'il assistait à un rodéo.
Des images pas si anodines pour le patron de Facebook qui, il y a encore quelques années, n'appréciait guère se retrouver dans la lumière, préférant travailler le nez sur son ordinateur. Les choses ont changé, et selon les médias américains, le fondateur du plus grand réseau social de la planète est en train de se construire une image publique qui rappelle celle des hommes politiques.
Dans un pays capable d'élire à la présidence Donald Trump, la possibilité de placer le jeune chef d'entreprise devenu philanthrope n'est plus complètement farfelue. Il faut encore, bien sûr, que Mark Zuckerberg dévoile son jeu plus franchement, mais il a commencé à poser des cailloux sur le long chemin vers la Maison Blanche… si c'est bien là son objectif.
Des images pas si anodines pour le patron de Facebook qui, il y a encore quelques années, n'appréciait guère se retrouver dans la lumière, préférant travailler le nez sur son ordinateur. Les choses ont changé, et selon les médias américains, le fondateur du plus grand réseau social de la planète est en train de se construire une image publique qui rappelle celle des hommes politiques.
Dans un pays capable d'élire à la présidence Donald Trump, la possibilité de placer le jeune chef d'entreprise devenu philanthrope n'est plus complètement farfelue. Il faut encore, bien sûr, que Mark Zuckerberg dévoile son jeu plus franchement, mais il a commencé à poser des cailloux sur le long chemin vers la Maison Blanche… si c'est bien là son objectif.